« Noël Herpe en toutes saisons, à travers les lunettes en demi-lune de Bernard Pivot. » Jérôme Garcin, L'Obs

 

« Avec son beau récit, Ma vie avec Bernard Pivot, Noël Herpe, écrivain et historien du cinéma, signe une autobiographie faisant écho à la émoirecollective autour de l’émission culte. » Christian Authier, Le Figaro littéraire

 

« Le merveilleux récit de Noël Herpe. » Frédéric Beigbeder, Le Figaro Magazine

 

« Ma vie avec Bernard Pivot, plutôt qu’une analyse de la cérémonie littéraire, est l’esquisse d’une éducation sentimentale à l’ombre de quelques figures tutélaires (Mauriac, Montherlant, Julien Green), un récit d’apprentissage où se décante le désir d’écrire. » Claire Devarrieux, Libération

 

« Un écrivain, critique de cinéma et cinéaste, Noël Herpe, s’acquitte de son devoir de reconnaissance envers Bernard Pivot dans un opuscule aimablement troussé où se mêlent ses impressions et souvenirs très personnels d’adolescent tourmenté, assis aux côtés de son père sur un lit-banquette, au cœur d’une maison envahie par les journaux jaunis qui prenaient la poussière. » Jean-Claude Raspiengeas, La Croix

« Dans La Révolution suspendue, les Belarusses contre l’État autoritaire, le sociologue, professeur à l’université de Bordeaux, revient sur les racines et étapes du mouvement démocratique aussi inattendu que massif qui a embrasé la Biélorussie en 2020 avant d’être férocement réprimé. Ce spécialiste est persuadé que le peuple biélorusse pourrait un jour s’inviter à nouveau dans la géopolitique compliquée de la région. » Laure Mandeville, Le Figaro.fr

 

« L'ouvrage de Ronan Hervouet restitue la lutte des Biélorusses au jour le jour et permet de mieux connaître ce pays, dont le rôle est devenu essentiel pour l'Europe. » Faustine Vincent, Le Monde

 

« Dans La révolution suspendue, l’auteur donne justement la parole à des dizaines de Biélorusses qui participèrent à ces manifestations. Il les a rencontrés hors de Biélorussie. En exil. En Lituanie, en Pologne, en République tchèque. Fournissant ainsi un document sociologiquement précieux sur la façon dont un peuple décide de s’opposer à un régime autoritaire. » Laurent Marchand, Ouest-France

 

 

Gilles Sebhan

Hors classse. Un traité d'immaturité
 

 

 

 

192 pages, 18 euros

14 octobre 2022

ISBN 978-2-37067-081-6

Jean-Pierre Chantin

La Famille. Une dissidence catholique au cœur de Paris XVIIe-XXIe siècle

 

 

 

160 pages, 18 euros

7 octobre 2022

ISBN 978-2-37067-075-5

« Xavier Charpentier signe un essai délicat sur l'année 1983 qui fut celle de la rigueur et de ses 20 ans. Il sait avec habileté retisser une ambiance, une tonalité, une odeur de temps perdu qu’on ne rattrape plus. »

Laurent Lemire, LH Le Mag

Quatre saisons à l'envers est la rencontre
aussi improbable que réussie entre Je me souviens de Perec, les essais de Jean-Pierre Le Goff et les romans de Modiano. Il flotte aussi un parfum de désenchantement et d'illusions perdues sur cette chronique douce-amère qui préfère à la nostalgie le souvenir de ceux qui éclairèrent des années de formation.
Le Figaro Magazine, Christian Authier
 

SÉLECTION PRIX SPORT SCRIPTUM 2022
SÉLECTION PRIX JULES RIMET 2022

 

« De cette trajectoire sulfureuse, le magistrat Luc Briand tire un livre passionnant. »

Christine Rousseau, Le Monde

 

« Un récit biographique exemplaire. »

Jean-Christophe Buisson, Le Figaro Magazine

 

« Derrière un style qui pourrait faire croire à la biographie romancée et qui rend la lecture très agréable, l’auteur démontre une réelle maîtrise de l’archive. Luc Briand repose en effet son récit sur des sources variées qu’il sait confronter avec talent les unes aux autres et le lecteur, y compris le plus initié à ce type d’exercice, ne peut être qu’impressionné par le remarquable travail documentaire nécessaire pour comprendre qui était Alexandre Villaplane. »

François da Rocha Carneiro, Revue Alarmer

« Un cri d’amour à cette grande plaine hongroise de la part de journalis­tes passionnés. »

Jean-Baptiste Chastand, Le Monde



« Les auteurs de La Hongrie sous Orban mènent l’enquête sans manichéisme et avec élégance. »

Thierry Portes, Le Figaro



« Une enquête de terrain passionnante. »

Sean Rose, LH Le Mag

« Un magistral exercice de microhistoire. »

Marc Semo, Le Monde

 

« Comment la barbarie la plus totale a-t-elle pu s’emparer d’un territoire ? C’est l’objet du travail colossal d’Omer Bartov. »

Stéphane Ehles, Télérama

 

« Omer Bartov livre à l’échelle d’une ville l’un des ouvrages les plus profonds sur l’histoire de la Shoah. »

Sylvain Boulouque, Nonfiction.fr

 

« Un livre-enquête exceptionnel. Un très grand livre. Poignant. Glaçant. Sidérant. »

Jean-Christophe Buisson, Le Figaro Magazine

« Il faut lire ce livre. »

Guillaume Erner, Charlie Hebdo

 

« Il faut lire ce livre extraordinaire, qui se lit comme un roman vrai. C'est passionnant. On découvre un monde. »

Jean Hatzfeld, RCJ

 

« Un chef-d'œuvre. »

Philippe Garnier, Philosophie Magazine

 

« Un livre marquant, d'un des historiens majeurs de sa génération. »

Tal Bruttmann, Paroles d'histoire

 

« Un exemple de microhistoire du génocide, et un modèle pour les futures recherches. »

Saul Friedländer

 

« Si vous imaginiez qu’il n’y avait plus rien à apprendre de nouveau sur la Shoah, prenez ce livre. » Philippe Sands

 

« L’étude magistrale de Buczacz – tout autant une étude sensible qu’un récit irréfutable et fascinant – révèle ce que l’histoire du génocide peut faire de mieux. » Christopher Browning

« On a l'impression, en se plongeant dans ce gros almanach, d'être installé dans un café de la IIIe République [...] ; au menu des discussions, la crise du Tonkin, le projet de tour Eiffel, le choléra à Toulon, la loi sur le divorce, le kilo de pain à 29 centimes. »
Bernard Quiriny, Lire/Le Magazine littéraire

 

« Dans « 1884 », Vincent Wackenheim dresse l'inventaire d'une année pas si ordinaire et invente une magistrale poétique de la chronique.»
Maryse Emel, Nonfiction.fr

« Une exceptionnelle profondeur et une démarche implacable. »

Isabelle Spaak, Le Figaro littéraire

 

« Gitta Sereny livre ici une réflexion passionnante sur le métier de journaliste ainsi que sur la relation si particulière et si ambiguë qui se tisse entre un auteur et son sujet. »
Zineb Dryef, Le Monde

 

« Les portraits de ces êtres fragiles et vulnérables brossés par Gitta Sereny sont saisissants. »

Alexandre Fillon, Les Échos Week-end


« Dans une enquête bouleversante, Gitta Sereny plonge dans les ténèbres de la prostitution enfantine. »

Laurent Lemire, LH Le Mag

« Un des livres les plus impressionnants que j’aie jamais lus. »

Philippe Sands

« Niklas Frank signe un livre dévastateur. » Baudouin Eschapasse, Le Point

« Un livre puissant. » Marc Semo, Le Monde

« Un témoignage rare sur les crimes nazis, à travers les yeux d’un enfant, complice à son insu, qui a grandi sans jamais comprendre ni pardonner. » Juliette Benabent, Télérama

 

« Je ne savais rien du métier de mon père, je savais seulement que nous possédions la Pologne et ses châteaux, qu’il était très puissant et que personne ne pouvait rien me dire. Dans son journal, le ministre de la propagande, Joseph Goebbels, avait surnommé Hans Frank "le roi de Pologne". »

Niklas Frank, entretien avec Stéphane Loignon, Le Parisien Magazine

« Un récit à l’éclat noir, dont les mystères sont explorés avec élégance par Amaury da Cunha. » Sophie Pujas, Le Point.fr

 

« C'est sur les traces de ce personnage qu'Amaury da Cunha nous emmène dans cet ouvrage qui restitue l'esprit d'un pays et d'une époque, plus complexes qu'il n'y paraît. » Alain Nicolas, L'Humanité

 

« Amaury da Cunha relate son périple en Nouvelle-Zélande sur les traces de la seule femme de l'île à avoir été condamnée à mort : Minnie Dean. » Sean James Rose, LH Le Mag

« Au gré d'un récit sensible en Super 8, Xavier Charpentier mène l'enquête, ouvre délicatement des cadenas rouillés, traque les signes avant-coureurs de la fin des Trente Glorieuses. Et c'est magnifique. » Christian Authier, Le Figaro magazine

 

« Xavier Charpentier restitue avec talent une époque dans toute sa complexité. » Jérôme Dupuis, L'Express

 

« Un livre formidable, inclassable, qui explore au plus profond cette année-bascule. » Stéphane Ehles, Télérama

 
« De cette plongée intime et sociologique, remonte à la surface un prodigieux livre d’histoire immédiate. Le résultat est étincelant. » Alain Beuve-Méry, Le Monde
 
« Brillant. » Vincent Hubé, L'Equipe
 
« Enquête sur la fin d'un monde à travers la morte d'un jeune pilote de course français et le début de la guerre du Kippour, le 6 octobre 1973. [...] Xavier Charpentier révèle leurs liens avec sensibilité et une infinie intelligence dans cet essai qui est aussi le plus personnel des récits. » Olivier Mony, Livres Hebdo
 
« Très joliment raconté. » Jacques Lindecker, L'Alsace

Sur la liste du prix littéraire

30 millions d'amis.

 

« Une savoureuse chronique de la relation hors norme entre la biologiste Joanna Burger et son oiseau de compagnie. » Pierre Barthélémy, Le Monde

 

« La chronique savoureuse d'un amour hors normes. » Laurent Ruquier, RTL

 

« Passionnel et passionnant, cet ouvrage se lit d’un bout à l’autre comme un roman. » Georges Chapouthier, Cerveau & Psycho

 

« Ce livre est un enchantement. » Marc Gadmer, Femme actuelle

 

« Ce texte aussi sérieux qu'insolite éclaire formidablement ce qui unit l'homme et l'animal. » Élisabeth Philippe, L'Obs

 

« Un récit précis et drôle. » Carole Chatelain, Sciences & Avenir

 

« Le récit émouvant et drôle d'une amitié fusionnelle qui a duré plus de vingt ans. » Jade Boches, 30 millions d'amis

 

« Une histoire vraie, savoureuse et passionnante. » Héloïse Goy, Télé 7 jours

 

« Un récit original et réjouissant. » Héloïse Rocca, Version Femina

« Cet inventaire à la Prévert des micronations est un délice. » Jacques Lindecker, L'Alsace
 
« Graziano Graziani nous offre des histoires inhabituelles, faites d’utopie, d’aspiration à la liberté, d’aventure, d’inventivité, de volonté d’autonomie et, parfois aussi, d’arnaque. Et qui montrent que tout est possible. » Jean-Claude Vantroyen, Le Soir
 
« Il se dégage une certaine créativité chez ces idéalistes, pour qui être libre prime sur tout. » Frédérique Roussel, Libération

 

« Qui peut jurer qu’il ne s’est jamais rêvé monarque d’un royaume personnel ? Ce rêve, ils sont quelques-uns à l’avoir mis en œuvre : ce sont les inventeurs de micronations. Le journaliste italien Graziano Graziani a mené l’enquête sur ces pays improbables. » Bernard Quiriny, L'Opinion

 

« Dans un livre très sérieux, Graziano Graziani recense ces micronations un peu bizarres, plus ou moins réelles, plus ou moins reconnues, souvent loufoques et provisoires. On est au carrefour de l'histoire, de la géographie, de la politique et de la psychiatrie, et ce n'est pas désagréable. » Jean-Christophe Buisson, Le Figaro Magazine

 

« Républiques utopistes, monarchies délirantes, principautés abracadabrantes… Le journaliste italien Graziano Graziani a réalisé un inventaire de ces étranges pays. » Cyril Guinet, Géo

« En une série de saynètes sombres ou comiques, la journaliste Cécile Delarue recréé l'atmosphère électrique de Los Angeles. L'auteure de Black Out confirme son talent de chroniqueuse sociale avec cette valse aux adieux brillante et lucide. » Claire Julliard, L'Obs

 

« Cécile Delarue compose le portrait de Los Angeles en convoquant ses souvenirs selon un désordre agréable et distancié : elle est sans cesse en décalage avec les situations qu’elle vit, et comment ne pas l’être dans cette bulle d’immaturité, de préjugés et d’émerveillements factices. » Virginie Bloch-Lainé, Libération

 

« C'est avec un regard à la fois critique et attendri qu'elle décortique cette société anti-Trump, obsédée par le contrôle et la réussite sociale, la scientologie et les smoothies. » Guillaume Perilhou, Grazia

 

« Un livre bourré d'anecdotes, de paysages marquants. Un récit doux-amer touchant. » Frédérick Rapilly, Télé 7 Jours

 

« Une chronique émouvante portée par une plume pleine de verve. » Olivier Bousquet, VSD

 

« Des chroniques vives, tendres et ironiques. » Adeline Fleury, Le Parisien Magazine

« Reporter, critique d’architecture, écrivain... Philippe Trétiack, bourlingueur touche-à-tout, dévide la bobine d’une histoire de famille de tailleurs. » Sean James Rose, Livres Hebdo

 

« Arnys & moi fait revivre tout ce petit monde oublié avec élégance, humour et tendresse. » Thierry Gandillot, Les Échos Week-end

 

« Philippe Trétiack, grand reporter, spécialiste de l’architecture vient d’écrire le meilleur livre de sociologie politique de l’année. » Thomas Morales, Causeur.fr


« Un récit enlevé, passionnant, fourmillant de détails et d'humour. », Nathalie Crom, Télérama

« Quelque chose transparaît de cet échange, quelque chose d’aussi rare que l’amitié et d’aussi délicat que l’humour : le pétillement de l’intelligence. » Laurent Lemire, Livres Hebdo
 

« Le meilleur roman de la rentrée littéraire est un roman épistolaire. » Bernard Quiriny, L'Opinion

 

« Dix ans de correspondance intellectuelle entre le futur écrivain Dominique Noguez et le futur historien Michel Taillefer. » Claire Devarrieux, Libération

« Le professeur est l’objet d’une injonction paradoxale. D’un côté, on lui demande de maîtriser l’art de la parole, d’en déployer avec force les effets devant son public ; on lui demande même d’éveiller chez l’élève une passion comparable. De l’autre, on exige de lui qu’il contribue au bon fonctionnement d’une institution par nature très hiérarchisée puisque tentaculaire et, qui plus est, hantée par le principe d’autorité. »

Aymeric Patricot, Valeurs Actuelles
 

« C'est un objet rare et hybride, à la fois récit personnel d'une vocation tardive et réflexion générale sur le métier d'enseignant. »

                                                       Émilie Trevert, Le Point

 

« C’est comme si l’écriture se révélait parfois ethnologue à elle toute seule par les trouvailles stylistiques de l’auteur. »

Mathieu Lindon, Libération

 

« Un petit bijou de topographie de l'exotisme. »

Sean James Rose, Livres Hebdo

 

« Un livre magnifique, qui fait rire, émeut, donne à réfléchir. »

L'Espresso

 

« Des histoires incroyables, qui en disent long sur le thème universel, et très actuel, de la rencontre avec l'autre. »

                                                       La Repubblica

« Dans un essai vivifiant, l'écrivain s'interroge sur la place du roman à l'ère de l'image. Une essentielle fragilité, décrite avec style et esprit. »

Eugénie Bastié, Le Figaro Magazine

 

« Le premier essai du jeune et prodigieux romancier Clément Bénech. »

Anastasia Colosimo, France Culture

 

« Le jeune romancier Clément Bénech passe à l'essai chez Plein Jour avec Une essentielle fragilité (18 janvier). Sous-titré Le roman à l'ère de l'image, ce texte interroge la place de la photographie dans les oeuvres littéraires. »

                                                   « On en parle », Livres Hebdo

 

Clément Bénech signera son essai :

- Le 10 avril, à 19h, à la librairie Mollat - Bordeaux.

- Au festival Lire à Limoges (4 et 5 mai) - Limoges.

- Aux Assises du Roman le 25 mai - Lyon.

« Il ne faudrait plus dire "Fake news" mais "Infox", terme préféré par l’Académie Française et publié la semaine dernière au Journal Officiel. Au-delà du débat sémantique, le véritable enjeu consiste à prendre toute la mesure de la transformation de l’espace public en ces temps de post-vérité. Pour Matthew D’Ancona, éditorialiste au Guardian, la presse de référence apparaît plus que jamais essentielle pour entretenir le seul rempart efficace : le comportement citoyen. »

Sylvain Bourmeau, AOC

« Le "romanquête" de Cécile Delarue devrait faire date. Un voyage en enfer dont on sort abasourdi. »

Claire Julliard, L'Obs

 

« Une enquête millimétrée. On a le sentiment de lire le calepin du lieutenant Columbo. Saisissant. »

Laurent Lemire, Livres Hebdo

 

« Vous aimez les séries policières ? Avec Black Out, vous allez êtes servie ! A la différence que, dans ce livre, tout est vrai. »

Julie Destouches, Femme actuelle

 

Avis de lecteurs (Net Galley) :

 

« On se croirait dans une série policière ultra intense et avec plein de rebondissements, seulement ce sont des faits réels. »

Cécile V.

 

« J'ai été époustouflée par ce roman documentaire. »

Annick Chevalley

 

« Sujet horrible et passionnant à la fois. Cécile Delarue souhaitait sortir de sa bulle en menant cette enquête et elle y est parvenue avec brio. »

Sania Minard

 

« Un livre passionnant, qui nous montre un autre aspect du rêve américain. »

Nina Ros

 

« J'ai quitté ce livre le cœur serré, toutes ces femmes dans ma tête. Victimes de violeurs, de tueurs. Mais fortes, si fortes. »

Sandrine Blicq

 

« Un livre très intéressant et très bien écrit. »

Nathalie Grillet

 

« Un enquête qui ravira tous les lecteurs de polars et de thrillers. Black-out nous plonge au cœur de South Central et nous saisit d'angoisse. »

Katia Roumy

 

« L'écriture est nette, elle ne peut laisser indifférent. Une enquête poignante qui nous met face aux réalités de notre société. »

Sonia Pupier

« L'inconscient occidental est parsemé d'images d'Epinal au sujet d'Israël. Alors que le pays entre dans sa 71e année, les historiens sont convoqués dans les médias pour dresser un bilan et délivrer des prophéties. En général, ces analyses passent à côté d'un point essentiel : la vie quotidienne des quelque 9 millions d'habitants d'Israël. Un instantané de l'imaginaire israélien : c'est ce que propose Jacques Bendelac dans Israël, mode d'emploi. »

Steve Jourdin, Akadem

 

Retrouvez Jacques Bendelac

dans La Croix et Actualité juive

sur France Culture

                                                       Radio J

                                                       Akadem

                                                       RCF

 

« La voix de Mohamed Bajrafil, qui a désormais quelque retentissement dans les médias et sur les réseaux sociaux, peut-elle porter ?

Elle commence en tout cas à compter, face à des gestionnaires de mosquées peu représentatifs des jeunes fidèles, des intellectuels d'origine musulmane éloignés de la pratique religieuse et des imams discrédités. (...)

"Le choix qui consiste à te couper du monde, de ton pays, de ton époque n'en est pas un", dit-il à son lecteur dans cette "lettre à un jeune Français musulman". Coran en main, mais toujours remis dans le contexte de la France de 2018. »

Dépêche AFP

 

Retrouvez Mohamed Bajrafil

sur France Culture

TV5 Monde

Oumma

RMC

Mediapart

« Depuis 2012, le robot-journaliste Marlowe, créé par le sociologue Francis Chateauraynaud, a rédigé près de 3 000 articles sur son blog. Trois ans plus tard, Le Monde fait appel à un robot-rédacteur pour relater les résultats du premier tour des élections départementales, tandis que le recours à l'intelligence articielle dans le journalisme se démocratise peu à peu aux États-Unis. Partant de ce constat, le journaliste indépendant Damien Desbordes analyse, dans Les robots vont-ils remplacer les journalistes ? [...], un monde en pleine transition et s'interroge sur l'évolution de son métier. »

Livres Hebdo

 

Retrouvez Damien Desbordes sur

TV5 Monde et RFI

 

« Jérôme Carrein, ce nom ne vous dit rien ? Il vous hantera longtemps après avoir refermé les pages de La Revanche de la guillotine. On ne lâche pas un instant cette histoire, dont Luc Briand a fait un grand livre. »

Pascale Robert-Diard, Le Monde

 

« Une affaire admirablement racontée et disséquée par l'auteur. Une enquête dérangeante et captivante. »

Jérôme Béglé, Le Point

 

« Luc Briand raconte la marche inexorable d’un homme vers la mort. Ce magistrat, dont c’est le premier livre et qui manifeste de réelles qualités d’écriture, veut seulement comprendre les raisons d’un verdict. Il maintient la tension d’un bout à l’autre. »

Laurent Lemire, Livres Hebdo

 

« Passionnant. »

Franck Johannès, blog Libertés surveillées, lemonde.fr

 

Retrouvez Luc Briand

dans Daily Nord, La Voix du Nord et 20 Minutes

sur France 3 (à partir de 7 min. 40 s.)

« C'est franchement captivant. »

Nathalie Crom, Télérama

 

« Un formidable voyage. »

Lou-Eve Popper, Lire

 

« Deux tableaux fascinants se superposent : la vie d'une pionnière qualifiée de mélancolique et une histoire des spectres et de leurs intercesseurs. Le tout se noue autour d'une quête très intime. »

Sophie Pujas, Le Point

 

« Un récit passionnant, qui embarque le lecteur dans une grande saga américaine. »

                                                       Gilles Rozier, Akadem

 

« Une incroyable enquête généalogique, qui se lit à la vitesse d'un roman. C'est un page-turner, et pourtant, rien de fictionnel dans ces pages. »

« 2 minutes pour choisir », 20 Minutes

 

« Dense et complet mais jamais, jamais lourd. En réalité, l'histoire d'Hannah Nordhaus se lit comme un roman : c'est tout aussi passionnant, et même plus en réalité, car tout est vrai, ce qui est fascinant en soi. »

Emily Costecalde, The American Break

 

« J'adore la démarche, la richesse de la matière brassée, la force d'évocation. Passionnant ! »

Christian Palvadeau, blog de la Médiathèque du Doubs

 

« Une histoire vraie absolument passionnante, qui vous fera passer d'agréables nuits blanches. »

Librairie Privat, Toulouse

 

« Un superbe portrait de femme que vous ne lâcherez pas. »

Isabelle Theillet, librairie Mots & Motions, Saint-Mandé

 

« Une enquête passionnante, un régal de lecture. »

Librairie Calligrammes, La Rochelle

 

« Attendez-vous à lire bien plus qu'une histoire de fantômes avec ce texte. Il regorge d'anecdotes historiques, sociologiques, intimes, psychologiques. Bref, un livre riche et passionnant. »

Aurélie Janssens, librairie Page & Plume, Limoges

 

Sur le site lecteurs.com :

 

« Une histoire étonnante, qui m'intrigue et m'envoûte. »

Nath Bertrand

 

« On se prend au jeu, on veut découvrir la vérité tout autant qu'Hannah, et on finit par dévorer ce livre. »

Marion Poidevin

 

« C'est comme cela que le journalisme devient écriture. »

Serge-René Fuchet

 

« On s'attache à Julia dès les premières pages. »

Miss Charity

« Fidèle à sa méthode, Gitta Sereny a voulu comprendre plutôt que juger. Un modèle du genre. »

Jérôme Dupuis, L'Express

 

« Gitta Sereny fut une immense journaliste, écrivaine, historienne. »

Dominique Simonnot, Le Canard enchaîné

 

« La force de Gitta Sereny, une fois de plus, est d’articuler l’empathie humaine et la rigueur. Toujours soucieuse des faits, dans leur crudité la plus nue, il n’y a chez elle ni victimisation simpliste ni jugement surplombant. »

                                                       Catherine Portevin, Philosophie Magazine

 

« Pourquoi un acte aussi atroce ? Gitta Sereny, l'une des plus grandes journalistes d'investigation, a assisté à toutes les audiences du procès. Elle s'est entretenue avec les familles des meurtriers, leurs instituteurs, les travailleurs sociaux et les policiers chargés de l'enquête pour essayer de comprendre. »

Macha Séry, Le Monde des livres

 

« Ce qui fascine, c’est la force d’investigation de Gitta Sereny, cette volonté d’aller au bout, de se saisir du moindre détail. Ses livres sont toujours des plongées saisissantes dans les tréfonds de l'âme humaine. Un journalisme qui s'élève à la hauteur de la littérature. »

Laurent Lemire, Livres Hebdo

 

« Gitta Sereny est un modèle d'enquêtrice par sa rigueur et sa ténacité. Dans La Balade des enfants meurtriers, on retrouve son interrogation sur les racines du mal. »

Marie-Laure Delorme, Le Journal du dimanche

« Un moment de grande fureur comique.

Pour notre plaisir, ça cafouille, ça chatouille et ça bafouille. »

Frédéric Pagès, Le Canard enchaîné

 

« Un livre absolument passionnant, qui rappelle l'importance de Jean-Christophe Averty, un grand créateur. »

Michel Ciment, « Le Masque et la Plume »

 

« Le pouvoir de fascination de ce Méliès de la télévision reste intact, deux mois après sa disparition. On le retrouve dans ce joli volume d'entretiens. »

Antoine de Baecque, Le Monde des livres

 

« Averty, ce génial inventeur, nous manque, et ce n'est pas Cyril Hanouna qui va nous consoler. Heureusement, il y a les archives, et maintenant un livre, qu'il faut absolument se procurer. »

Sébastien Le Fol, Les Matins, France Culture

 

« Une très bonne idée d'éditeur pour un bel hommage à un artiste unique, et qui nous laisse orphelins. »

François Kasbi, Valeurs actuelles

 

« Puisqu'un homme averti en vaut deux, j'aimerais provoquer une vague de dédoublements dans tout le pays en vous avertissant de l'existence en version papier de l'un des derniers grands entretiens accordés par Jean-Christophe Averty. »

Richard Gaitet, Nova Book Box, Radio Nova

 

Retrouvez Noël Herpe sur France Inter (à partir de 55 min. 15 s.)

« À travers une série de portraits d’une remarquable justesse, Lardreau saisit ce qu’on appelle (à raison ou à tort) la « classe moyenne » – celle-là même dont on dit que le « déclassement » l’a entraînée vers le FN. Il en résulte un ouvrage digne, prouvant qu’on peut mettre en avant la carte et le territoire sans pour autant oublier l’humain. »

Baptiste Liger, Lire

 

« Comment raconter l'histoire de ceux qui n'en ont pas ? C'est le pari de l'écrivain Fabrice Lardreau dans ce reportage littéraire aussi sensible qu'éclairant. »

                                                       Sophie Pujas, Le Point

 

« Un livre délicat et inclassable, qui ausculte les petits bonheurs, les nostalgies et les peurs de ce terroir. À quelques semaines de la présidentielle, il dresse un portrait subtil et précieux d'une certaine France invisible que l'on finirait presque par oublier. »

Jérôme Dupuis, L'Express

 

« Un essai passionnant d'un auteur curieux qui permet, loin des phantasmes et des certitudes des politiciens, d'appréhender le coeur de la France et des Français. A travers le portrait de ce village et, en creux, de cet auteur, c'est toute une vie qui se dévoile. »

Pierre Krause, Babelio

 

Retrouvez Fabrice Lardreau sur Sud Radio - ici (27'50'') et - et dans La Repubblica.

« Le destin de ce couple peu commun méritait bien un livre comme celui de Sylvain Pattieu. C'est un récit très actuel, plein d'empathie, d'intelligence et de détails terribles qui ne s'inventent pas. Un petit chef-d'œuvre de narrative nonfiction»

Grégoire Leménager, L'Obs

 

« La manière la plus intelligente de dépenser 13 euros ! Ni roman ni enquête, ou un peu des deux, peu importe au fond, ce qui compte c'est l'intensité de ce texte, son engagement et sa force. À travers les portraits de Jean et Melvin McNair, Afro-Américains devenus pirates de l'air par désespoir, c'est à une profonde réflexion sur l’oppression et l'intolérance que nous invite Sylvain Pattieu. On en ressort bouleversé, et grandi. »

Mathilde Guiraud, librairie Delamain, Paris

 

« On avait oublié l'histoire incroyable de Jean et Melvin McNair, auxquels Sylvain Pattieu rend hommage dans un livre passionnant. »

Mohamed Kaci, TV5 Monde

 

« Un poignant hommage à deux figures tragiques de l'histoire, rejetées à jamais par le pays qu'elles voulaient changer. »

Sophie Joubert, L'Humanité

 

« Un texte fulgurant et une lecture salutaire. »

Valérie Caffier, librairie Le Divan, Paris

 

« Une formidable pirouette narrative, une extraordinaire aventure humaine, sociale et politique. »

Matteo Cavanna, librairie Gallimard, Paris

 

« De l’Amérique ségrégationniste, au mouvement pour les droits civiques, jusqu’en Normandie, l’auteur nous emmène sur les traces de ces corsaires des temps modernes. Une réflexion, plus que jamais actuelle, sur l’oppression, l’engagement, l’intolérance. Intense ! Un petit livre qui a tout d’un grand ! »

Librairie Les Mots & les Choses, Boulogne-Billancourt

 

« Un véritable travail d'écriture du réel, un récit ultra-documenté et plein d'empathie qui remet en contexte le geste désespéré d'une poignée de jeunes Noirs voulant fuir le ghetto à la fin des années soixante-dix et leur long chemin vers la rédemption. »

Amaury Gouyette, librairie Brouillon de culture, Caen

 

« "Et si on détournait un avion ? C'est une bonne idée, non ? On prend les enfants avec nous, d'accord ?" C'est à peu près ainsi qu'a commencé l'un des plus invraisemblables détournements d'avion de l'Histoire. Une folle aventure. »

Jérôme Dupuis, L'Express

« On se régale, c'est fantastique. Il faut que tout le monde lise ce livre. »

Matthieu Colombe, librairie Goulard, France Inter

 

« Pour Gaspard Delanoë, écrire semble être une activité aussi dérisoire qu'essentielle - son Autoportrait est un joli exercice d'équilibriste. »

Amaury da Cunha, Le Monde des livres

 

« La presse prend Gaspard Delanoë pour un trublion. Voire. En fait, c'est un squatteur, utilisant la stratégie du coucou, l'oiseau qui pond ses œufs dans le nid des autres. En art, en politique comme en littérature. »

                                                   Arnaud Viviant, Transfuge

 

« Un autoportrait qui se lit avec un immense plaisir et le sourire aux lèvres de la première à la dernière page. »

Cécile Dutheil, En attendant Nadeau

 

« Une délicieuse litanie centrée sur le "je". Souvenirs personnels d'une enfance privée de père, émotions grivoises, préférences culinaires, considérations légères, puis retour au saisissement existentiel : ça part dans tous les sens, et ça fait drôlement du bien. »

François Perrin, Le Vif/L'Express

 

Retrouvez Gaspard Delanoë

dans Le Masque et la Plume (49'51)

sur France Culture

sur Nova

sur YouTube

chez Mollat

à l'Élysée

« Voici sans doute l'un des livres les plus importants, troublants et dérangeants jamais écrits sur le nazisme. Le niveau de détails et d'incarnation auquel elle parvient est aussi stupéfiant que cauchemardesque. Comme avec le film Shoah, mais cette fois dans la sphère des bourreaux, on a la sensation en lisant ce livre d'approcher physiquement ce qu'a dû être la réalité du nazisme. »

Marc Weitzmann, Le Magazine littéraire

 

« Difficile de savoir qui est le plus fascinant, de Gitta Sereny elle-même ou des personnalités sur lesquelles cette grande journaliste écrivit tout au long de sa carrière. »

                                                   Jean-Louis Jeannelle, Le Monde des livres

 

« Une lecture majeure, trépidante et indispensable. On lit tour à tour un journal de bord, un roman d'aventures, un thriller digne du Silence des agneaux dans ses face à face avec d'anciens criminels nazis, un polar juridique et bien sûr un essai aussi profond que passionnant sur la nature humaine. Impossible à lâcher. »

Guillaume Bourain (librairie Les Saisons, La Rochelle), Initiales magazine

 

« L’auteur pose les questions fondamentales de la responsabilité individuelle ; du mensonge et de la culpabilité. Ces mêmes questions hantent également, dans les autres enquêtes recueillies ici, les enfants et les parents des hiérarques du régime. Elles hantent aussi les générations successives de jeunes, et au-delà, toute la société allemande qui - nous pouvons en être certains - se les posera encore pendant longtemps. »

Association des professeurs d'histoire et de géographie

 

« Comment la barbarie nazie a-t-elle pu surgir au cœur de l'Europe civilisée ? Pour tenter de le comprendre, il faut absolument lire Dans l'ombre du Reich. Une somme dont la finesse de l'analyse psychologique et sociologique équivaut, sinon dépasse, la perspicacité d'Eichmann à Jérusalem. »
Paulina Dalmayer, Causeur

 

« Ces textes fourmillent d'informations, de réflexions, de questionnements, de réponses à de nombreuses interrogations, le tout par l'entremise d'une écriture captivante, fluide et par une maîtrise parfaite de la construction d'ensemble. »

Yves Faucoup, Mediapart

 

« Les interactions permanentes entre expériences, émotions et souvenirs personnels, et les analyses historiques, sociales et journalistiques de Gitta Sereny font toute l’originalité de son travail. Elle ausculte au plus près le corps du mal qui, loin d’être fascinant, apparaît misérablement humain. »

Victorine de Oliveira, Philosophie Magazine

 

« L’immense talent de Gitta Sereny est de savoir rendre leur part d’humanité aux bourreaux, ce qui est encore plus dérangeant. Beaucoup, dans des circonstances similaires, pourraient faire pareil. Elle est dans le gris de la vie, loin de tout manichéisme. »

Marc Semo, Libération

 

« La force de l'ouvrage de Gitta Sereny est de glisser avec talent de la douloureuse nostalgie d'un Stefan Zweig à l'acuité journalistique du Joseph Kessel de L'Heure des châtiments. Un maître livre. »
Jean-Louis Thiériot, Le Figaro Histoire

 

« Gitta Sereny évoque dans ce livre-témoignage ses rencontres. Mises bout à bout, elles font de cet ouvrage un portrait impressionniste mais très précieux de l'Allemagne nazie et, mieux encore, de l'Allemagne d'après-1945. (...) Un portrait passionnant de ce qui reste, au fond, l'impensé allemand. »

Jacques de Saint Victor, Le Figaro littéraire

 

« Dans l'ombre du Reich est moins un livre d'histoire qu'un livre sur les traces de l'histoire. Avec Gitta Sereny, on entre dans le nazisme par une porte dérobée. Le mal y apparaît moins impressionnant même si l'horreur qu'il dégage est identique. »

Laurent Lemire, L'Obs

 « Un récit passionnant, fascinant. »

Sophie Pujas, Le Point

 

« Un livre d'une incroyable densité poétique et spirituelle. Mark Greene, écrivain de race qui écrit dans un français splendide, nous offre une méditation profonde sur le monde et la vie, l'utilité et l'inutilité de nos entreprises. »

Sébastien Lapaque, Le Figaro littéraire

 

« Plus fort que Don Quichotte ! »

Frédéric Pagès, Le Canard enchaîné

 

« On ne peut s’empêcher de penser, en refermant l’ouvrage, que Justo a raison et que le reste du monde a tort. Car Mark Greene explore ce projet sans fin avec une grande finesse. Sous sa plume, cette cathédrale, dont la construction s’étire indéfiniment, devient une incarnation moderne du geste poétique, résolument inutile et gratuit. »

Violaine Morin, Le Monde des livres

 

« Mark Greene rend hommage dans ce livre deux fois inspiré – par la foi du bâtisseur, par la passion de l’écrivain – à cet acte génialement fou, obstiné, démesuré, invraisemblable. »

Ella Balaert, La Nouvelle Quinzaine littéraire

 

« On a beau voir, on ne voit pas tout à fait. D’où la remise sur le métier de cet énoncé incompréhensible et tellement limpide, synthétique, d’une vie, que Mark Greene tisse dans ce non-traité de construction. »

Julia Peslier, En attendant Nadeau

 

« Avec souplesse et subtilité, son livre fait apparaître sous nos yeux la cathédrale "altière et absurde". »

Grégoire Leménager, L'Obs

 

« Un tendre et subtil récit. Les scènes sont fortes, concrètes, incarnées. On pense à Samuel Beckett. »

Sabine Audrerie, La Croix

 

« Un corps-à-corps entre deux hommes que tout oppose mais qui partagent la même conviction : il n’y a pas de but, seul importe le chemin. »

Sophie Joubert, L'Humanité

 

« Un beau récit sur un Don Quichotte aux allures mi-médiévales mi-clownesques. »

Jean-Philippe Rossignol, ArtPress

 

« Mark Greene revient en librairie avec un intrigant récit. On retrouve dans ce mince et dense volume tout ce qui fait le charme de ses romans et nouvelles. Une même musique. Un identique goût pour le mystère. »

Alexandre Fillon, Sud-Ouest

 

« 90 pages de pur plaisir, qui se lisent d'une traite et sur lesquelles on revient sans cesse. Bref, un régal ! »

Blog La XXVe heure

 

« Une petite pépite à mettre entre toutes les mains curieuses. »

Alexandre Bord, Librairie de Paris, Paris

 

« Une magnifique rencontre entre un auteur et son sujet. »
François Groff, librairie Le Livre et la Tortue, Issy-les-Moulineaux

 

« On ne fait que des miracles ! C'est le cas de le dire, après la lecture de cette histoire absurde, héroïque, magnifique. »

Matteo Cavanna, librairie Gallimard, Paris

 

« Très surprenant, et combien touchant. »

Alexandre Cavallin, Port Maria, Quiberon

 

« L'histoire poétique et singulière d'un constructeur de cathédrale. Un beau texte à découvrir ! »

Marion, librairie Mémoire 7, Clamart

 

« La réalité, comme par magie, devient plus folle que la fiction.

Un petit texte d'une grande puissance ! »

Émilie Pautus, librairie La Manœuvre, Paris

 

« Un livre magnifique. »
Vincent Ladoucette, librairie Privat, Toulouse
 
« Une belle découverte. »
Magali Le Moullec, librairie Durance, Nantes
 
« Un régal ! »
Aurélie Garreau, librairie Le Monte-en-l'air, Paris 
"Dissimulons ! inaugure avec éclat la nouvelle collection "Les Invraisemblables". Soixante-dix pages claquantes comme des talons hauts et serrées comme des bas résille."
Jérôme Garcin, L'Obs
 
"Dissimulons ! dresse avec finesse et subtilité le portrait d'individus rejetés par une société bien-pensante et malveillante. L'écriture épurée de Noël Herpe parvient surtout à libérer les puissances oniriques et romanesques cachées dans la réalité."
Diane Arnaud, La Quinzaine littéraire
 
"On se demande parfois ce qu'est la littérature, ou si la littérature existe toujours aujourd'hui : ce petit livre, c'est deux heures de pure littérature."
                                                                Arthur Dreyfus, "Le Cercle", Canal +
 

"Un petit bijou sur ce qu'on peut appeler la tragédie sociale : comment des êtres se retrouvent exclus par les autres, pour une raison qu'on ne connaît pas très bien. C'est absolument magnifique."

Arnaud Viviant, "Le Masque et la Plume"       
 
"Ce texte dissimule en lui les germes de ce qui fait un grand écrivain, celui-là même qui vous emmène là où vous ne pensiez pas aller et qui repense la littérature et la fiction. Formidable."
Blog Manœuvres de diversion
"Philippe Cohen-Grillet, enquêteur obstiné, n'a cessé de côtoyer les familles de victimes, les avocats, policiers, espions et juges pour mettre au jour un terrible 'loupé' des autorités françaises."

Alfred de Montesquiou, Paris Match

 

"Philippe Cohen-Grillet démontre que la justice était au courant des menaces qui pesaient sur le Bataclan dès 2009."

Caroline Roux, "Les 4 vérités", France 2

 

"Est-ce que vous répétez ce matin que les autorités françaises ont menti sur les menaces contre le Bataclan ?

- Non seulement elles ont menti mais elles continuent de mentir. Ce n'est pas une affirmation en l'air, car c'est une accusation grave. Je le démontre, preuves et documents à l'appui."

Entretien avec Emmanuel Faux, Europe 1

 

"On peut douter de la capacité des services de l'État à gagner la guerre contre les terroristes. Est-ce une affirmation gratuite ? Ce n'est pas l'avis de Philippe Cohen-Grillet, qui a remonté la piste sanglante des menaces contre le Bataclan. Il livre la synthèse de son enquête sur l'enquête."

Louis Daufresne, Radio Notre Dame

 

"Un livre-enquête fouillé et solide où Philippe Cohen-Grillet dénonce des mensonges d'État."

Sonia Mabrouk, Public Sénat

 

"On a mis une chape de plomb sur les menaces contre le Bataclan."

Retrouvez Philippe Cohen-Grillet sur LCI.

 

"Un livre qui vous fait tomber de l'armoire. Passionnant et inquiétant."

Retrouvez Philippe Cohen-Grillet sur RMC.

 

"Votre livre fait froid dans le dos."

Retrouvez Philippe Cohen-Grillet sur BX1 (à partir de la 18e min.).

 

"Le président de la République a assuré aux familles des victimes du terrorisme que l'État leur devait vérité et transparence. On en est très loin. Elles le savent."

Retrouvez Philippe Cohen-Grillet dans "Face à l'info", sur la RTBF.

 

"Philippe Cohen-Grillet répond à plusieurs questions essentielles sur l'attentat meurtrier du 13 novembre 2015 au Bataclan."

Causette

 

"Un récit écrit tambour battant, sans excès de style, avec précision et justesse, qui hélas ne parle que de réalité, les faits, rien que les faits. Glaçant. Et important pour que d'autres Bataclan ne se produisent plus."

Olivia Phelip, Viabooks

 

"Philippe Cohen-Grillet met en garde sur les failles de notre protection face à un ennemi très loin d'être neutralisé."

Denis Daumin, La Nouvelle République

 

"Le journaliste et écrivain Philippe Cohen-Grillet dénonce le stupéfiant échec de la justice antiterroriste française qui disposait dès 2009 des informations annonçant l’attentat du Bataclan."

Jean-Marc Laurent, La Montagne

 

"L’attentat du Bataclan aurait-il pu être évité ? C’est la question que tout le monde se pose depuis la parution de la contre-enquête du journaliste Philippe Cohen-Grillet."

Maïté Hamouchi, Métro Belgique

 

"Le Bataclan était ciblé depuis 2009. Et pourtant... Philippe Cohen-Grillet déplore le manque de courage des politiques qui ont totalement minimisé les ratés de l'enquête Bataclan 1."

Ludivine Ponciau, Le Soir

 

"Les Belges ont-ils, par leur incompétence, permis les attentats de Paris ? 'Faux et insultant', nous répond Philippe Cohen-Grillet, journaliste au Canard enchaîné, dans un livre où il épingle au contraire les manquements de la Justice française qui 'était au courant des menaces contre le Bataclan depuis 2009'."
Jean-Paul Bombaerts, L'Écho

 

"L'auteur a écrit ce livre pour Cécile Vannier et pour ses parents. Il estime que les victimes du terrorisme ont droit à plus de transparence en France."

Christophe Lamfalussy, La Libre Belgique

"Remarquable livre de Valérie Rodrigue, qui touche à une vérité profonde sur l'homme et la société. Une histoire d'amitié avec cette femme que nous voyons tous, sur le trottoir, avec son enfant et devant laquelle nous passons. Écrite avec style, élégance et précision. Superbe et émouvant !"

Éliette Abécassis

 

Valérie Rodrigue et Romica sur le plateau de C à vous.

 

"Un récit revigorant."

Messages

 

"Cette plongée dans l'univers des Roms, sincère et drôle, dit tout de l'archaïsme, de la liberté, de la discrimination, mais aussi de l'amitié, de la générosité des bénévoles. Un récit qui réchauffe."

Muriel Fauriat, Le Pèlerin

 

"Lisez ce beau récit. Il prouve que l'intégration peut réussir, qu'il n'y a pas de choc des civilisations, que le racisme peut être surmonté. Une belle surprise littéraire."

Blog Danactu-résistance

 

"Un récit plein de lumière qui dézingue tous nos a priori. Formidable."

Isabelle Bourgeois, Avantages

 

"Grâce au talent de conteuse de Valérie Rodrigue, le lecteur assiste à la métamorphose de la jeune femme, pleine de doutes mais obstinée, partagée entre sa communauté et son envie de se fondre dans le décor."
Clémence Dellangnol, Actualités sociales hebdomadaires

 

"Parler du 'problème rom' sans pathos, ni clichés, ça change. Pas d’angélisme dans ce 'docu fiction'."

Isabelle Paris, Peps News

 

"C'est un souffle, un espoir, où le manichéisme n'a pas lieu d'être. C'est joyeux et remarquablement écrit. Romica, on l'aime et on y croit."

Sylvie Metzelard, Marie-France

 

"Cette chronique tonique et poétique d’une intégration réussie dynamite au passage pas mal de préjugés."

Sandrine Mouchet, Femme actuelle

 

"Ce récit d’une amitié et de l’intégration réussie de Romica est tout simplement formidable parce que Valérie Rodrigue peint une réalité sans chercher à l’embellir. Une lecture nécessaire."

Blog Clara et les mots

 

"De son expérience de bénévole auprès des Roms, la romancière Valérie Rodrigue a tiré un livre en forme de road-movie, l'occasion de plonger dans l'intimité d'une communauté mal connue."

Axel Gyldén, L'Express

 

"Qu'est-ce qui peut lier une jeune Rom qui vit dans un camp et mendie dans la rue à une journaliste parisienne de la presse féminine ? Une amitié de celles chères à Montaigne. (...) Aucun angélisme dans la description rude et glaçante de cette communauté. Juste l'histoire de deux femmes qui font ensemble un chemin d'humanité."

Sophie Bajos de Hérédia, Témoignage chrétien

 

"Il y a parfois des histoires qui finissent bien, pour peu que l’on accepte de se battre pour forcer le destin..."

Florence Dalmas, Le Dauphiné libéré

Retrouvez Jean-Marc Quaranta sur France Culture et sur TF1 (50e min.).
 
"Un pari fou, formidablement réussi. L'analyse sans doute la plus originale à ce jour de la prose houellebecquienne."

Paulina Dalmayer, Causeur

 
"Dans cette fine analyse de la recette houellebecquienne, on peut vérifier que l’auteur de Soumission mérite son statut de Top Chef contemporain."
David Caviglioli, L'Obs
 
"C’est inattendu. C’est fantasque. Ça réveille. On ne s’attendait surtout pas à s’ouvrir l’appétit chez Houellebecq. Mais il n’est jamais vraiment ce qu’il semble, ce à quoi on s’attend. Il n’est pas si étonnant que ça sente bon dans sa cuisine."
Nicolas Houguet, blog L'Albatros
 
"Un regard très intéressant, très audacieux sur la façon dont on peut lire Houellebecq."
Jessica Nelson, TF1
 
"Un livre insolite, fervent, passionnant."

Gilles Pudlowski

 

"Le livre de Jean-Marc Quaranta nous dévoile un autre Houellebecq, non plus seulement chantre de la misère surgelée, mais apôtre de la bonne chère. Houellebecq fin ?"

Christophe Ono-dit-Biot, Le Point

 

"Un livre de recettes autant qu'une métaphysique du tube digestif et qu'un essai littéraire."

Élisabeth Quin, Madame Figaro

 

"Savoureux."

Fabrice Gaignault, Marie-Claire

 

"Jean-Marc Quaranta a beau être professeur, il n'en est pas moins fin lecteur, toujours drôle, léger, précis, capable de coïncidences remarquables."

Sébastien Lapaque, Le Figaro littéraire

 

"À lire cette parfaite digestion critique, on saisit mieux à quelle sauce l'on doit déguster l'œuvre de Houellebecq."

François Aubel, Le Figaro

 

"Une lecture pour le moins inattendue de l'œuvre de Michel Houellebecq."

Guillaume Erner, France Culture

 

"Un livre roboratif."

Sébastien Le Fol, France Culture

 

"L'auteur met ici littéralement la main à la pâte : en trifouillant, malaxant, pétrissant dans les œuvres du romancier, il extrait un ouvrage étonnant."

Sean J. Rose, Livres Hebdo

 

"Jean-Marc Quaranta, très sérieux maître de conférences en littérature à l'université d'Aix-Marseille, s'est amusé à décortiquer la place de la nourriture dans les romans du plus célèbre écrivain français vivant."

Jérôme Dupuis, L'Express

Retrouvez Aymeric Patricot sur Radio libertaire.

 

"Quoi de plus déprimant que les traités sur le bonheur ? On oscille entre copie de bac philo et manuel de développement personnel. Saluons donc le dernier livre d'Aymeric Patricot, qui renouvelle le genre en présentant une série de témoignages d'anonymes sur ce qui leur procure du bonheur dans la vie. Concept tout simple, mais diablement efficace. Avec Patricot, le bonheur est toujours une idée neuve en Europe."

Jérôme Dupuis, L'Express

 

"Les Vies enchantées est le livre qui va à contre-courant de ceux qui nous expliquent comment être heureux. Et c’est en cela que sa démarche résonne. À travers ces témoins qui forcent l’admiration, Aymeric Patricot exprime un regard joyeux, réel et inattendu sur le bonheur, avec un souci de véracité qui rendra service au lecteur en quête de bonheur."

Christophe Mangelle, Metronews

 

"Le casting fait tout le charme de ce petit guide du bonheur pas tout à fait consensuel, pas du tout mièvre et surtout pragmatique. Une potentielle source d'inspiration."

Florence Chédotal, La Montagne

"Le témoignage de Marie L. Barret frappe par la qualité sensible de son écriture (y compris dans les passages les plus crus), l'absence de toute morale et surtout son empathie - voire sa compassion - pour les hommes qui la désirent, la rêvent."

Jérôme Garcin, L'Obs

 

"Si vous voulez comprendre, pour une part, la prostitution, il faut lire Éphémère, vénale et légère."

Brigitte Lahaie, RMC

 

"Marie L. Barret, putain de son état, possède de nombreux talents, dont ceux de savoir bien raconter, de faire rire, d'analyser intelligemment son environnement et de fignoler des portraits incomparables."
Paulina Dalmayer, Causeur

 

"Marie L. Barret a une langue magnifique. Elle parle des rapports hommes-femmes d'une manière incroyable."

Émilie Pautus, librairie La Manœuvre, France Culture

"Je pense que la vérité a été la première victime collatérale des récits d'actualité sur les ZAD."
Pascal Perri, sur France 3.
 
Retrouvez aussi Pascal Perri
sur LCI (extrait 1, extrait 2),
 
 

Littérature du réel, enquêtes, essais, histoire.

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